Projet
Laboratoire Vivant d’Innovation en Éducation (LaVIE)
Une préoccupation commune : contribuer à la réduction des inégalités numériques en contexte scolaire
Soutenir la cocréation et la diffusion de solutions pertinentes et désirables à des problèmes complexes en éducation, telle est la collaboration qu’entame l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) avec le Laboratoire en innovation ouverte (LLio) et le CTREQ. L’initiative du projet a pour but de contribuer à la réduction des inégalités numériques en contexte scolaire.
La collaboration entre des acteur·trice·s issu·e·s de quatre secteurs distincts contribuera à la richesse de l’expérimentation de ce projet, soit:
- une institution publique (ministère de l’Éducation);
- des entreprises privées (association Edteq, Digihub et GénieLab);
- des chercheur·se·s;
- et des usager·ère·s de différents milieux scolaires.
Bien qu’ayant des intérêts différents, tous ont pour objectif de favoriser l’adaptation des pratiques éducatives et pédagogiques pour répondre aux besoins diversifiés des apprenant·e·s du primaire et du secondaire, entre autres, par l’intégration adéquate du numérique.
Les inégalités numériques en contexte scolaire déjà présentes et bien documentées (Collin, S. et al., 2015) ont été accentuées par la pandémie. Rappelons que le Conseil supérieur de l’éducation (CSE, 2016) mentionne dans son rapport Remettre le cap sur l’équité que le principe de l’égalité des chances repose sur l’égalité d’accès, de traitement et de résultat.
Comment y parvenir ? Le laboratoire vivant
Un laboratoire vivant est un regroupement de partenaires rendu possible grâce à la sphère publique qui, le plus souvent, finance ce type d’initiatives. Ainsi, le Laboratoire vivant d’innovation en éducation (LaVIE) rassemble et unit des acteur·trice·s de diverses provenances afin de faire émerger de nouvelles idées et d’explorer de nouvelles façons de faire qui seront par la suite expérimentées et adaptées aux différents milieux, le tout en produisant des connaissances dont pourra bénéficier le milieu scolaire.
La mise en œuvre de ce projet se déploie par des cellules de cocréation où les partenaires interpellé·e·s travaillent de manière récurrente et itérative sur deux périodes de quatre mois pour trouver des réponses aux enjeux soulevés. En parallèle, un comité de pilotage voit à faire le suivi de la direction que doivent prendre les cellules.
Fait intéressant à soulever : le transfert de connaissances s’effectue tout au long du projet. C’est dire que les réflexions et les actions qui émergent sont évaluées en temps réel par les acteur·trice·s sur le terrain, ce qui permet une mise à niveau en continu pour le laboratoire, mais aussi un transfert de connaissances dès la première année du projet. Pour plus d’informations, consultez le site Web du projet !
Surveillez les avancées du projet
Restez à l’affût, de nouveaux outils rapportant les avancées du projet seront diffusés tout au long de la démarche !