Une bande dessinée sur les inégalités numériques en éducation : la famille

Accompagnée par le Laboratoire en innovation ouverte (LLio) et soutenue par le ministère de l’Enseignement supérieur, la chercheuse Séverine Parent dirige le Laboratoire Vivant d’Innovation en Éducation (LaVIE). Ce laboratoire vivant a été mis sur pied dans l’objectif de trouver des solutions innovantes aux problèmes réels vécus par le personnel de l’éducation en lien avec les inégalités numériques. Dans le cadre de ce projet, cinq bandes dessinées ont vu le jour afin de sensibiliser les milieux face à cet enjeu.

Différents facteurs à l’origine des inégalités numériques

Les bandes dessinées créées dans le cadre du projet LaVIE mettent en lumière plusieurs facteurs pouvant être à l’origine des inégalités numériques afin de réduire ces dernières par un travail de sensibilisation. Disponibles sur le site du CTREQ, les trois premières bandes dessinées se sont penchées sur les facteurs liés :

La famille comme facteur d’inégalité numérique

Cette quatrième bande dessinée, comme les trois premières, s’inscrit dans un objectif de sensibilisation, cette fois-ci en s’intéressant aux facteurs liés à la famille. Les parents ayant à la fois une responsabilité, ainsi qu’une influence en ce qui a trait au développement de la compétence numérique chez leur(s) enfant(s), cette bande dessinée se veut une conscientisation portant sur le milieu familial. En effet, l’attitude des parents envers le numérique, la disponibilité de temps et des outils numériques ainsi que la compétence numérique des parents sont tous des éléments qui sont explorés dans cette bande dessinée.

Pour citer la bande dessinée : Lebeau, E., Voyer, S., Parent, S., Pouliot, E., Deschênes, M. et Côté, A. (2024). Une histoire de transition numérique en milieu scolaire – Épisode 4 : la famille. CTREQ.

Document(s) lié(s)

Épisode 4 - La famille

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Projet associé

Laboratoire Vivant d’Innovation en Éducation (LaVIE)

Le CTREQ est heureux d’avoir collaboré avec l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) et le Laboratoire en innovation ouverte (LLio) afin de contribuer à la réduction des inégalités numériques, et ce, en misant sur la collaboration entre un groupe de recherche et des personnes du milieu de l’éducation primaire et secondaire comme des établissements scolaires, des centres de services scolaires, des élèves, des entreprises privées et un ministère.