Lancement du Réseau de recherche et de transfert sur la littératie

Le 8 septembre dernier avait lieu le lancement officiel du Réseau québécois de recherche et de transfert en littératie. Ce lancement a été réalisé dans le cadre de la Journée Lire pour réussir, organisée par l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) dans le cadre de la Journée internationale de l’alphabétisation de l’UNESCO.

Plusieurs chercheurs ont pris part au lancement, notamment Rachel Berthiaume, professeure agrégée de l’Université de Montréal, qui a présenté le Réseau, Monique Brodeur, doyenne de la Faculté des sciences de l’éducation de l’UQAM, qui a relaté la genèse du Réseau, et Rakia Laroui, professeure à l’UQAR, qui a exposé les différentes fonctions du Réseau. Nathalie Lacelle, professeure à l’UQAM, a quant à elle présenté la définition de la littératie, proposée par le Réseau en septembre 2016, définition qui fait déjà l’adhésion de différentes organisations.

Linda St-Pierre, présidente-directrice générale du CTREQ, a par la suite informé les personnes présentes des principales actions envisagées par les membres du Réseau.

Ces présentations ont été suivies de témoignages d’acteurs de la pratique et de la recherche sur l’utilité d’un tel Réseau : Caroline Varin, directrice générale de la Fondation pour l’alphabétisation; Danielle Roberge, coordonnatrice au bureau du développement et de l’expertise pédagogique à la Commission scolaire de Montréal; Sylvie Théberge, première vice-présidente de la Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE-CSQ); Nathalie Morel, vice-présidente à la vie professionnelle de la Fédération autonome de l’enseignement (FAE); Normand Landry, professeur titulaire à l’Université TÉLUQ; et Michel Simard, directeur de la formation continue et des services aux entreprises au Collège Lionel-Groulx.

Rappelons que le CTREQ accompagne les membres du Réseau dans le démarrage de cette organisation.

Photo : Shutterstock/dreamerve