Projet

Mettre la table pour l’avenir

Logo du projet Mettre la Table pour l'avenir
Mettre la table pour l’avenir est un ensemble de projets orientés sur une visée globale commune : améliorer le niveau de littératie alimentaire chez les jeunes entre 16 et 25 ans, et plus spécifiquement ceux en transition à la vie adulte et ceux vivant des enjeux de sécurisation alimentaire. Pour ce faire, les actions du CTREQ et de ses nombreux partenaires ont entrepris une démarche visant à outiller les membres du personnel enseignant et le personnel œuvrant dans le milieu communautaire afin qu’ils puissent aider les jeunes en ce sens. Les deux projets ont été rendus possibles grâce à l’appui financier du ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie.

PHASE1 : Co-construction et déploiement d’une trousse pédagogique (2021-2023)  

 

PHASE 2 : Soutenir le pouvoir d’agir en littératie alimentaire (2024-2027) 

Afin d’offrir un outil complémentaire aux formations initiales des membres du personnel enseignant à la formation générale des adultes et des professionnels dans les milieux communautaires, cette phase prévoit un processus de co-construction avec les acteurs de terrain mobilisés. Les contenus de ces outils sont orientés sur les besoins en matière d’intervention en matière de littératie alimentaire chez les jeunes entre 16 et 25 ans. Il s’agit d’un vaste chantier qui dure trois ans et qui mobilise des partenaires ayant une expertise variée et complémentaire. 

Axe 1 : Orientation globale du projet  

Les premières actions posées dans le cadre de ce projet sont orientées vers la mise en place d’un comité de pilotage dont le mandat est d’orienter l’ensemble des travaux et de s’assurer de la bonne marche du projet. Le CTREQ peut compter sur des chercheurs ainsi que des personnes en provenance d’une diversité d’organismes communautaires et d’établissements scolaires pour réfléchir aux orientations du projet et de s’assurer d’un état d’avancement adéquat au fil du temps. 

Partenaires mobilisés :  

  • Université de Sherbrooke ; 
  • Université Laval ; 
  • Centre d’éducation des adultes des Navigateurs (Centre de services scolaire des Navigateurs) ; 
  • Centre d’éducation des adultes Le Phénix (Centre de services scolaire des Découvreurs) ; 
  • Réseau des Carrefour Jeunesse-Emploi du Québec (RCJEQ) ; 
  • Comité intersectoriel en saines habitudes de vie (CIR-SHV) de l’Abitibi-Témiscamingue ; 
  • Association Pour la Santé Publique du Québec (ASPQ). 

Axe 2 : Confirmation des besoins  

La première année du projet vise à expérimenter la trousse pédagogique, afin de documenter l’intérêt et les besoins des professionnels et membres du personnel enseignant au regard de leur intervention en littératie alimentaire avec les jeunes. Ainsi, le comité de travail responsable de la mise en œuvre des travaux de co-construction s’assure que les moyens envisagés pour soutenir le pouvoir d’agir en matière de littératie alimentaire correspondent bien aux réalités des intervenants et du personnel enseignant qui mènent des activités avec les jeunes sur le terrain.  

Partenaires mobilisés :  

  • Centre d’éducation des adultes le CÉAN (CSS des Navigateurs) ; 
  • Centre d’éducation des adultes Le Phénix (CSS des Découvreurs) ; 
  • Centre d’éducation des adultes La Passerelle (CSS Harricana) ; 
  • Carrefour Jeunesse emploi de Coaticook ; 
  • Carrefour Jeunesse emploi de Johnson ; 
  • Technobois ; 
  • Réseau des Carrefour Jeunesse-emploi (RCJEQ) ; 
  • Comité intersectoriel en saines habitudes de vie (CIRSHV). 

Axe 3 : Processus de co-construction 

La confirmation des besoins est le premier pas qui mène le comité de travail à débuter la co-construction de la solution envisagée. Pour la développer, des chercheurs spécialisés en éducation, en marketing alimentaire et en saines habitudes de vie contribuent à assurer la bonne marche des travaux, et surtout à ce que les outils développés s’insèrent dans des pratiques porteuses reconnues par la recherche, avec la collaboration de la chercheuse principale du projet, Otilia Holgado de l’Université de Sherbrooke. De plus, la co-création des outils envisagés est enrichie des connaissances des experts en contenus mobilisés pour ce projet. Ces connaissances portent notamment sur le gaspillage alimentaire, l’éco-anxiété, la communication positive liée au poids, et plus encore.  

Partenaires mobilisés :  

  • Université de Sherbrooke ;  
  • Université Laval ;  
  • Les AmiEs de la Terre ;  
  • Éco-motion ; 
  • Collectif Vital de l’Association Pour la Santé Publique du Québec (ASPQ) ; 
  • Centre d’éducation des adultes le CÉAN (CSS des Navigateurs) ; 
  • Centre d’éducation des adultes Le Phénix (CSS des Découvreurs) ; 
  • Centre d’éducation des adultes La Passerelle (CSS Harricana) ; 
  • Réseau des Carrefour Jeunesse-emploi (RCJEQ) ; 
  • Comité intersectoriel en saines habitudes de vie (CIRSHV) ; 
  • YMCA St-Roch.  

Axe 4 : Expérimentation  

La dernière année du projet vise à expérimenter la solution envisagée et à procéder aux ajustements requis. Ainsi, l’ensemble du processus assure une adéquation de l’outil développé en complémentarité à la trousse pédagogique existante avec les attentes, les intérêts et les besoins des milieux scolaires et communautaires.   

Partenaires mobilisés :  

  • Université de Sherbrooke ;  
  • Université Laval ;  
  • Les AmiEs de la Terre ;  
  • Éco-motion ; 
  • Collectif Vital de l’Association Pour la Santé Publique du Québec (ASPQ) ; 
  • Centre d’éducation des adultes le CÉAN (CSS des Navigateurs) ; 
  • Centre d’éducation des adultes Le Phénix (CSS des Découvreurs) ; 
  • Centre d’éducation des adultes La Passerelle (CSS Harricana) ; 
  • Réseau des Carrefour Jeunesse-emploi (RCJEQ) ; 
  • Comité intersectoriel en saines habitudes de vie (CIRSHV) ; 
  • YMCA St-Roch.  

Conclusion 

Le processus de transfert de connaissances a comme ambition de mettre à la disposition de toutes les personnes intervenant auprès des jeunes de 16 à 25 ans une trousse pédagogique ainsi qu’un outil de développement professionnel visant à soutenir leur pouvoir d’agir en littératie alimentaire. Mieux outillés, les membres du personnel des établissements d’enseignement et des organismes communautaires locaux pourront organiser de nombreuses activités et initiatives. 

Le rôle du CTREQ 

Dans ces deux projets, le CTREQ est le porteur principal. À ce titre, il contribue principalement en planifiant et en coordonnant l’ensemble du processus de transfert de connaissances. Ainsi, il participe activement à la mobilisation des partenaires, à l’élaboration et à l’expérimentation de la solution envisagée. De plus, le CTREQ assure la gestion globale du projet, dont la reddition de compte aux organismes subventionnaires. Finalement, le CTREQ œuvre à ce que les partenaires mobilisés s’impliquent dans la mise en place des moyens de pérennisation de la solution développée. 

À surveiller 

Pour être informé des suites de ce projet, surveillez l’infolettre du CTREQ. 

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